Dans un arrêt rendu le 4 mars dernier, la Cour de cassation a requalifié un chauffeur VTC [1] travaillant pour Uber en salarié de la plateforme. Une grande première qui, tout en faisant trembler le géant américain, donne quitus à la société albigeoise. « Tout ce qui est reproché à Uber obéit chez nous à un fonctionnement différent », explique Pierre Rosi, fondateur de l’appli tarnaise. En ce qui concerne (...)
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