Bien sûr, comme tous les commerces, la Jardinerie tarnaise a souffert du confinement. « Les pertes se chiffrent à 1 million d’euros sur la période », indique Guy Bousquet, son dirigeant. Pour autant, le redémarrage n’est pas pour lui un sujet d’inquiétude, tant la crise a donné un coup d’accélérateur à une tendance déjà forte : l’envie de cultiver son jardin. « Je vois d’un bon œil l’avenir du marché car je (...)
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