Il faut ensuite faire face aux tracas des ministères de l’Agriculture et de la Culture. « À chaque fois, la même chanson : vous n’entrez dans aucune case, donc vous ne pouvez pas le faire. Je ne vais pas changer de métier. On m’a demandé si j’avais un auditorium. J’ai répondu que je ne savais pas ce que c’était. Un Zénith alors ? Un Zénith... n’importe quoi. Il ne restait qu’un seul (...)
La lecture de cet article est réservée aux abonnés :